L’idée du détournement de la Vénus de Milo est venue initialement de l’observation d’une sculpture de style futuriste d’Umberto Boccioni au MOMA de New York, intitulée « l’homme en mouvement » ou « forme indéfinie de continuité dans l’espace ».
A cela s’est ajoutée l’impression art déco de l’empire state building et de la tour Chrysler. Après quelques maquettes, une symbiose des styles art déco et futuriste s’est imposée pour donner corps à une Vénus revisitée.
Il reprendra par la suite sur ce même thème différentes figures de l’Antiquité qu’il revisitera avec une image toujours plus contemporaine pour aboutir finalement à une ligne de collection qui fait sa signature. Il fait également appelle à des grapheurs comme Polo ou Tony Tichené afin de pousser davantage sa démarche artistique de mélange des genres.
Des sculptures étonnantes de finesse et d’énergie.